Il s’agit, notamment, de la place de la nature et des continuités écologiques, de l’accès au logement abordable, aux équipements publics et aux emplois, des mobilités collectives et automobiles, de la santé environnementale – bruit et pollution, en particulier, – et de bien d’autres sujets encore.

Ce constat renvoie tout à la fois à celui des territoires pertinents mais aussi des organisations politiques et administratives.

La Métropole du Grand Paris, créée voici près de 10 ans, trop faible politiquement et économiquement, n’a pas permis de répondre de façon satisfaisante à ces questions. Les grands syndicats IdF Mobilités, SIAAP … ne couvrent que certaines problématiques et peuvent avoir des approches jugées technocratiques.

Nous voulons inciter les acteurs publics à engager les collaborations indispensables pour se placer à la bonne échelle, se poser la question des institutions et nous voulons, bien sûr, le faire avec les autres fédérations départementales de France Nature Environnement pour sortir d’une certain « nombrilisme » parisien.